De Sucre à La Paz en passant par Cochabamba
Quelques photos prises de l’Altiplano bolivien, glannées le long de la route entre Sucre (ok, légèrement en-dessous de la définition de l’Altiplano) et La Paz via Cochabamba.
Pour suivre l’itinéraire sur une carte, nous avons emprunté les routes 5 (jusqu’à Aiquile), puis 23 (jusqu’à Punata), puis 7 (jusqu’à Cochabamba), puis 4 (jusquà Patacamaya – mauvais souvenir), puis enfin 1 pour arriver à la capitale !
Hormis un mauvais souvenir de la station essence de Patacamaya (mauvaise essence probablement coupée à l’eau = Napito qui ne veut plus rouler = vidange du réservoir et 60L d’essence perdues) les routes boliviennes sont étonnamment bonnes. Une des grandes mission d’Evo Morales, même si elles sont faites à la bolivienne : à flanc de montagne avec d’infinis tournants en épingle à cheveux. Le long de la route, nous sommes plongés dans un autre temps, où les travaux des champs sont pour la plupart réalisés avec des moyens rudimentaires (à la force des bras), les villages constitués de maisons en adobe (mais électrifiés) et les locaux en habits traditionnels – surtout les femmes avec leurs chapeaux, leurs jupons et leurs énormes sacs de tissus colorés. Et comme toujours, les lamas sont omniprésents !
ps : que l’on ne s’y trompe pas, même les photos montrent un grand ciel bleu, c’est l’hiver dans l’hémisphère sud et les nuits à plus de 4000 mètres et leurs températures plus que glaciales nous ont bien endurcis !